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AE-11201

Robert Schumann (1810-1856)

Complete works for pedal piano or organ

Daniel Beckmann

Mainz, St. Ignaz

Dieser Artikel ist auch Bestandteil folgender Bundles: info

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Inhalt:
Robert Schumann (1810-1856) :
Sechs Studien für den Pedalflügel in kanonischer Form - Nr. 1 "Nicht schnell" C-Dur [Op. 56, 1]
Sechs Studien für den Pedalflügel in kanonischer Form - Nr. 2 "Mit innigem Ausdruck" a-moll [Op. 56, 2]
Sechs Studien für den Pedalflügel in kanonischer Form - Nr. 3 "Andantino" E-Dur [Op. 56, 3]
Sechs Studien für den Pedalflügel in kanonischer Form - Nr. 4 "Innig" As-Dur [Op. 56, 4]
Sechs Studien für den Pedalflügel in kanonischer Form - Nr. 5 "Nicht zu schnell" h-Moll [Op. 56, 5]
Sechs Studien für den Pedalflügel in kanonischer Form - Nr. 6 "Adagio" H-Dur [Op. 56, 6]
Skizze für Pedalflügel Nr. 1 "Nicht schnell und sehr markiert" c-Moll [Op. 58, 1]
Skizze für Pedalflügel Nr. 2 "Nicht schnell und sehr markiert" C-Dur [Op. 58, 2]
Skizze für Pedalflügel Nr. 3 "Lebhaft" f-Moll [Op. 58, 3]
Skizze für Pedalflügel Nr. 4 "Allegretto" Des-Dur [Op. 58, 4]
Fuge über den Namen BACH Nr. 1 "Langsam" B-Dur [Op. 60, 1]
Fuge über den Namen BACH Nr. 2 "Lebhaft" B-Dur [Op. 60, 2]
Fuge über den Namen BACH Nr. 3 "Mit sanften Stimmen" g-moll [Op. 60, 3]
Fuge über den Namen BACH Nr. 4 "Mäßig, doch nicht zu langsam" B-Dur [Op. 60, 4]
Fuge über den Namen BACH Nr. 5 "Lebhaft" F-Dur [Op. 60, 5]
Fuge über den Namen BACH Nr. 6 "Mäßig, nach und nach schneller" B-Dur [Op. 60, 6]
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Daniel Beckmann, Orgel
Gesamtspielzeit: 1:13 (h:m)
Booklet: 20p., Englisch Deutsch
Bestell-Nr. AE 11201
EAN 4026798112011
Produktkategorie: SACD
Veröffentlichungsdatum: 03.04.2020
  • play_circle_outline Studie in kanonischer Form Nr. 1 C-Dur
  • play_circle_outline Studie in kanonischer Form Nr. 3 E-Dur
  • play_circle_outline Studie in kanonischer Form Nr. 4 As-Dur
  • play_circle_outline Studie in kanonischer Form Nr. 5 h-Moll
  • play_circle_outline Skizze Op. 58 Nr. 1 c-Moll
  • play_circle_outline Skizze Op. 58 Nr. 3 f-Moll
  • play_circle_outline Fuge über B-A-C-H Op. 60 Nr. 2 B-Dur
  • play_circle_outline Fuge über B-A-C-H Op. 60 Nr. 4 B-Dur
  • play_circle_outline Fuge über B-A-C-H Op. 60 Nr. 5 F-Dur
  • play_circle_outline Fuge über B-A-C-H Op. 60 Nr. 6 B-Dur

Aeolus' erste Zusammenarbeit mit dem Mainzer Domorganisten Daniel Beckmann führt uns an die in ihrer alten Pracht wiedererstandene Bernhard Dreymann-Orgel in der Mainzer Sankt-Ignazkirche. Das 1837 am Beginn der Romantik erbaute Instrument wurde von Christian Heinrich Rinck als vorbildlich für den damals modernen Orgelbau gepriesen und paßt exakt in die Entstehungszeit von Robert Schumanns Werken für Pedalflügel bzw. Orgel.

Zu der Zeit, da Robert Schumann seine Studien und Fugen für Pedalflügel komponierte, führte das Instrument Orgel in den meisten europäischen Ländern ein ausgesprochenes Schattendasein. 
Zur Anschaffung eines Pedalflügels im Hause Schumann schrieb Clara in ihr Tagebuch: „Am 24. April [...] erhielten wir ein Pedal unter den Flügel [...]. Robert fand [...] höheres Interesse für das Instrument und komponierte einige Skizzen und Studien für den Pedalflügel, die gewiß großen Anklang als etwas Neues finden werden.“ Diese Kompositionen enstanden allesamt 1845 in Dresden.
In einer der frühesten Rezensionen der B-A-C-H-Fugen schrieb der Magdeburger Domorganist August Gottfried Ritter: „Wer Robert Schumann kennt, wird sich durch eine solche Wendung nicht überrascht finden. Ein so tief-sinnender und tief-fühlender, allen von außen her angetünchten Effecten durchaus feindlicher Componist mußte zu dem, seinem innern Wesen so nah verwandten Instrumente hingezogen werden und in ihm das für den Ausdruck seiner Gedanken geeignetste finden." Schumann selbst war überzeugt, die Fugen seien, wie es in einem Brief heißt, „eine Arbeit, von der ich glaube, daß sie meine anderen vielleicht am längsten überleben wird".
Aufgrund ihrer reichlich vorhandenen Grundstimmen und der daraus resultierenden vielfältigen Möglichkeiten dynamischer Abstufungen ist die Mainzer Dreymann-Orgel geradezu prädestiniert für die Enspielung dieser Zyklen.

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Rezensionen zu “Schumann: Complete works for pedal piano or organ”

 

Res Musica Frédéric Muñoz, Mai 26, 2020 :

“Le jeune organiste Daniel Beckmann séduit par son approche originale et très attachante.”
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L’œuvre pour orgue de Schumann fut au départ composée pour le piano-pédalier. Grâce à un art achevé de la registration et une exceptionnelle souplesse, ces pièces sont restituées pour la première fois avec relief et passion sur un orgue contemporain du compositeur. Le jeune organiste Daniel Beckmann séduit par son approche originale et très attachante.
Depuis l’invention du pédalier en tant que plan sonore supplémentaire pour augmenter les possibilités d’un instrument à clavier, ont surgi à l’orgue depuis la Renaissance toutes sortes de systèmes à pédales plus ou moins sophistiqués, qui pour des questions pratiques se sont aussi retrouvés installés sur des instruments domestiques. Certains clavicordes ou clavecins ont bénéficié de cet apport très intéressant qui permettait aux organistes de jouer chez eux sans le concours d’un souffleur et bien au chaud en hiver. Certains instruments à pédalier comme le claviorganum réunissaient le clavecin et un petit orgue. Lorsque le clavecin fut progressivement abandonné au début du XIXᵉ siècle au profit du piano, ce principe du pédalier associé fut maintenu pour bon nombre d’instruments dont le pedalflügel connu par Schumann.
L’école allemande pour orgue avait développé depuis le XVIIᵉ une écriture où la partie de pédale occupait une place fondamentale, les jeux de ce plan sonore dépassant souvent en nombre ceux des autres claviers. Schumann, lui même organiste, fut séduit par ce nouveau piano-pédalier, sorte d’orgue à cordes dont il se fit livrer un exemplaire, tel que le rapporte Clara Schumann dans son journal intime. Cela ouvrit de nouveaux horizons de composition pour Robert qui produit en 1845 et 1846 trois cycles de pièces spécialement pour cet instrument aux possibilités de tessitures élargies. Un premier groupe de pièces constituant l’opus 56 comprend Six études en canon. Cette forme musicale rappelle l’art du contrepoint de Bach que Schumann admirait par dessus tout. Chaque étude offre un climat particulier, par la tonalité, le rythme et l’ensemble représente un petit art du canon. L’écriture même de ces pièces appelle facilement un passage à l’orgue, ce dernier restant l’instrument polyphonique par excellence.
Le cycle suivant comprend Quatre esquisses op. 58 où l’écriture purement pianiste est prépondérante. Les contrastes sont marqués, les traits virtuoses et la liberté de jeu du piano se transmet magiquement à l’orgue, habituellement plus statique. Par un jeu de nuances subtil entre les deux claviers de l’orgue on assiste à des forte-piano instantanés qui aèrent et exaltent le discours musical. Le troisième et dernier cycle est constitué par Six fugues op. 60. Elle sont un hommage à Bach par les quatre notes de son nom, servant de thème aux diverses pièces. D’autres univers contrapuntiques sont explorés, portés par certains rythmes marqués et dansants jusqu’à la gigue.
Il faut noter l’approche assez inédite de Daniel Beckmann pour de telles œuvres, déjà beaucoup enregistrées, mais qui n’avaient pas livré jusqu’ici tous leurs secrets. L’interprète utilise les possibilités que lui offre cet orgue, grâce à des plans sonores différenciés mais proches dans la couleur en terme de nuances instantanées, telles qu’un piano est capable d’en livrer. Grâce à ces qualités, l’orgue historique de l’église Saint-Ignace de Mainz, construit par Bernhard Dreymann en 1837 est un instrument idéal pour traduire la musique romantique de Schumann. Il fut épargné de diverses modifications d’importance hélas souvent hasardeuses et sa magnifique façade originale en étain a échappé aux réquisitions de guerre. C’est la maison Orgelbau Hermann Eule qui fut chargé de sa restauration de 2015 à 2019, dans un esprit d’authenticité afin de retrouver exactement l’orgue original de 1937 : le résultat est remarquable. L’orgue de Mainz représente un spécimen parfait de la période de transition entre le dernier baroque et le premier romantique. De nouvelles sonorités plus orchestrales apparaissent ici en harmonie avec la musique de ce temps-là.
Cet album est l’un des plus réussi de la grande collection proposée depuis vingt ans par le label Aeolus aux mélomanes amateurs d’orgue. La prise de son en stéréo ou multichannel surround, au choix en fonction de l’installation du discophile, est d’un équilibre des plus convaincants, l’iconographie de l’album est soignée avec photos et textes de premier choix. Le succès d’une telle version reviendra sans nul doute et avant tout à Daniel Beckmann, jeune organiste allemand, élève de Gerhard Weinberger. Il est chargé de cours et organiste à Mainz. Grâce à son approche d’une rare inspiration, portée par une étude approfondie des textes musicaux, il nous éclaire sur les rapports étroits entre Schumann et l’orgue, le piano pédalier initial lui servant de tremplin pour sublimer un discours d’un romantisme exacerbé et génial à tous points de vue.

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Badische Zeitung Johannes Adam, Mai 26, 2020 :

“Der Interpret bietet die Resultate als Exempelmit Ohrwurm-Qualitäten. [...] Eine CD als Lehrstunde zum Thema Schumann auf der Orgel.”
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Poetisches plus Polyphonie
Im Sommer 2013 gab Daniel Beckmann ein fulminantes Konzert im Freiburger Münster. Jetzt legt der 1980 geborene Mainzer Domorganist das komplette Schaffen Robert Schumanns für Pedalflügel oder Orgel auf CD vor. Eingespielt wurde die bei Christoph Martin
Frommens Top-Label Aeolus erschienene Scheibe an einem frühromantischen Instrument: an der von Bernhard Dreymann 1837 vollendeten Orgel der Mainzer Kirche St. Ignaz. In unseren Tagen wurde sie von der namhaften Bautzener Werkstatt Eule subtil restauriert.
Von Beginn an zeigt Beckmann, der in Detmold ausgebildete Weinberger- Schüler, dass er genau weiß, wie deutsche Orgelromantik zu klingen hat. Kundig genutzt wird bei der Interpretation der drei Schumann-Zyklen von 1845 der Grundstimmenvorrat (Acht-
Fuß-Register) des zweimanualigen, sich dem Betrachter als Augenweide präsentierenden Instruments. Wärme und Ausdruck erfüllen die Musik, die gerade bei den sechs Studien in kanonischer Form wunderbar Polyphonie und Poetisches verbindet. Bei diesen romantischen Kanons unterstreicht der Liedgroßmeister Schumann sein eminentes Melos-Potenzial: Der Interpret bietet die Resultate als Exempelmit Ohrwurm-Qualitäten. Aus den vier Skizzen sprechen Scherzo-Anleihen. Galten Schumanns Kanons und Skizzen dem Pedalflügel, jener Fußnote des Instrumentenbaus, so sind die B-A-C-H-Fugen tatsächlich der Orgel zugedacht. Ob ruhiger stile antico, Motorik oder finale Doppelfuge: Beckmann gestaltet sie sehr schön. Die lebhafte F-Dur-Fuge (Nr. 5) gerät zum Kabinettstück. Andernorts wird erinnerlich, dass es Steigerungsfugen bereits vor Max Reger gibt. Selbst Volumen und Kraft artikulieren sich bei Daniel Beckmann ganz nach Maßgabe der Romantik. Eine CD als Lehrstunde zum Thema Schumann auf der Orgel.

 

Allgemeine Zeitung Mainz Jan-Geert Wolff, May 22, 2020 :

“Beckmann, Schumann, Dreymann - ein Trio, was bestens miteinander harmoniert.”
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Music Web International Stephen Greenbank, May 25, 2020 :

“Daniel Beckmann’s artful musicianship makes him the perfect advocate for these well-crafted works.”
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Res Musica :

Le jeune organiste Daniel Beckmann séduit par son approche originale et très attachante.

Badische Zeitung :

Der Interpret bietet die Resultate als Exempelmit Ohrwurm-Qualitäten. [...] Eine CD als Lehrstunde zum Thema Schumann auf der Orgel.

Allgemeine Zeitung Mainz :

Beckmann, Schumann, Dreymann - ein Trio, was bestens miteinander harmoniert.

Music Web International :

Daniel Beckmann’s artful musicianship makes him the perfect advocate for these well-crafted works.
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